On ne vous supprime pas les allocations, on vous les attribue .... puis on vous les retire...
On ne vous supprime pas les allocations, on vous les attribue .... puis on vous les retire...
"Ce que font toutes les sociétés occidentales: elles cherchent à générer davantage de croissance? Alors que c'est justement ce qui met en péril leur subsistance"
L'agresseur portait une barbe et était vêtu d'une djellaba blanche
Il devrait être facile à identifier..
(la piste islamiste est à l'étude..)
http://www.lemonde.fr/idees/visuel/2013/05/24/vers-un-printemps-anti-mai-68_3417061_3232.html
Voici ce qu'écrivait George Orwell:
" Le remplacement d'une orthodoxie par une autre n'est pas nécessairement un progrès. Le véritable ennemi, c'est l'esprit réduit à l'état de gramaophone, et cela reste vrai que l'on soit d'accord ou non avec le disque qui passe à un certain moment". G. Orwell (cité par Nicolas Truong)
Et aussi
http://www.huffingtonpost.fr/2013/05/24/guy-birenbaum_n_3330146.html?utm_hp_ref=mostpopular
Une bonne question pour l'oral de IEP. Profitez-en l'article est gratuit
Mais il faut passer par le site du Monde
Pour tous ceux d'entre vous qui préparent l'oral de IEP Paris
Extrait
Voilà un concept en vogue, mais dont l'histoire est ancienne. Le terme "gouvernance" apparaît au XIIIe siècle pour qualifier l'"art de gouverner les hommes". Et pourquoi pas, idéalement, "tous les hommes" ? Le philosophe allemand Emmanuel Kant préconise, en 1795, la création d'une fédération d'Etats libres - une "société des nations". C'est le nom que les vainqueurs de la guerre de 1914-1918 donneront à la première alliance de sécurité collective à vocation universelle. Les parrains de la Société des nations (SDN, 1919-1946) auront pour ambition d'assurer la paix et de faciliter la coopération entre Etats.
La gouvernance est aujourd'hui un mot fourre-tout. Ce concept pourrait être défini comme l'aspiration des nations à gérer et réguler ensemble les problèmes traditionnels liés au maintien de la paix et ceux, plus nouveaux, issus de la mondialisation, ces problèmes "sans passeport" : la faim, la pauvreté, les pandémies, le changement climatique, la biodiversité, la criminalité transnationale, la prolifération nucléaire ou le terrorisme.
Dans un univers de plus en plus interdépendant, mais dépourvu de gouvernement mondial, la gouvernance implique l'idée que les multiples acteurs en jeu - Etats, organisations internationales, ONG, entreprises multinationales - peuvent s'accorder sur la définition d'objectifs communs et sur les moyens de les atteindre. Elle s'inscrit dans un nouvel ordre mondial marqué par la montée en puissance des grands pays émergents (Chine, Russie, Inde, Brésil, Afrique du Sud).
Cet ordre international en mutation repose sur trois piliers indépendants, la paix, le développement et les droits de l'homme, qui correspondent à trois préoccupations : la quête d'une sécurité collective, la construction d'une économie mondiale plus ouverte et plus juste et la difficile mise en place d'une justice internationale.
Jean-Pierre Langellier Le monde 9 mai 2013
La France ne fait qu'appliquer les objectifs imposés par l'Europe , dit-il.
Or, poursuit-il :
"L' Europe, c'est la loi du plus fort, c'est -à-dire la loi de la majorité, c'est-à-dire l'Allemagne...."
Ce n'est pas totalement faux...
A réfuter
"
C'est la mondialisation des échanges qui rend la nation inopérante comme espace de protection -pas l'Europe. Le repli nationaliste est moins que jamais pertinent dans un monde globalisé qui rogne les pouvoirs de la nation ou de l'Etat -pareil repli ne serait pas synonyme de souveraineté reconquise" Alain Frachon
http://www.lemonde.fr/idees/article/2013/05/15/l-europe-n-y-est-pour-rien_3238282_3232.html
"Accumuler les biens mène au dépôt de bilan planétaire"
RV mardi au Majestic
http://www.allocine.fr/seance/salle_gen_csalle=C0139.html