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22 novembre 2006 3 22 /11 /novembre /2006 18:41

Je voudrais bien savoir pourquoi aucun candidat ne nous parle de la dette publique de la France et de l'indispensable traitement de choc  pour la réduire? C'est dans le Monde du 22 novembre, par P.A. Delhommais

Quelqu'un a une idée ? (peut-être n'est-ce pas un thème très porteur?)

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commentaires

L
EFFECTIVEMENT, c'est pas très commercial en pleine campagne de mettre sur le tapis , la dette publique...<br /> en mm temps, aujourd'hui, tous les pays sont endettés , la france n'est pas un cas isolé, et nous pouvons faire référence à la première puissance économique, qui a la dette la plus élevée .<br /> l'analogie, trop souvent faite, entre un ménage et l'Etat, ne semble pas pertinente...l'Etat ne meurt pas ....<br /> Bien que la politique de relance économique keynesienne soit, sans cesse critiquée, elle n'est pas caduque, ...si l'on croit que ss augmentation des salaires et ss relance de l'investissement, on peut créer la croissance, il m'apparait que l'on fait une grossière erreur.En fait, c'est plutôt du aux politiques économiques  internationales...<br /> J'ai juste une question, depuis 20 ans, on peut constater, le triomphe des milieux de la finance, et d'une libéralisation du marché du travail.C'est indéniable, à en voir les lois, de moins en moins protectrices.A en croire les économistes...si la situation ne s'est pas ameliorée, c'est parceque le marché contient encore trop de rigidités....mais pk, alors, malgré les politiques libérales (bien que trop faibles, selon les économistes), il n'y a pas eu une légère amélioration ds l'économie, ne serait-ce que minime ???
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L
En ce qui concerne les Etats-Unis, pas de souci pour eux car ils empruntent à un taux très faible et ils prêtent à un taux très élevé! Je suis indignée, pour ce qui concerne , par le fait que l'on vit à crédit, sur le dos de nos enfants, qui n'ont guère été consulté. On constate  en outre que c'est une spirale infernale. Il faut toujours plus d'argent pour rembourser toujours plus, et donc dans ces conditions le retour de la croissance est fort compromis.