"Le Kremlin ne voit pas la crise syrienne en termes de droits de l'homme mais en rapport de forces géopolitiques"
Intéressant: je prends note!
Quant à ce que j'en pense:
"Le Kremlin ne voit pas la crise syrienne en termes de droits de l'homme mais en rapport de forces géopolitiques"
Intéressant: je prends note!
Quant à ce que j'en pense:
Je ne comprends pas pourquoi personne ne dit rien...
Aucune mobilisation, pas de manif, ni de communiqués.. rien!
Ce n'est pas une bonne cause?
http://lci.tf1.fr/monde/moyen-orient/syrie-qu-est-devenue-edith-bouvier-7020455.html
Il est tout de même étonnant que les écologistes n'aient eu aucune réaction à l'nnonce de la géniale idée de Nicolas Sarkozy (surélever les bâtiments de 30%..)
A lire sur notre application ( iphilo.fr ) l'édito de Sophie Chassat
http://www.iphilo.fr/?p=edito_les_indignes_peuvent_ils_changer_le_monde
En quel sens du mot "utopie"?
Ce ne peut être au sens propre ("qui n'existe nulle part"). La décroissance est une option ("décroissance sélective, croissance sélective"), ce n'est pas un régime politique qui pourrait exister quelque part, ou qui n'existerait ni ne pourrait être mis en place nulle part.
Est-ce au sens de: "impossible"? " irréalisable"? "déraisonnable"?
Mais alors, il faut rappeler au contraire que ce qui est déraisonnable, c'est de penser que la croissance est LA solution qui, à terme, va rétablir le plein emploi et permettre de résorber nos dettes.
Pour deux raisons:
1) A court et moyen terme, les dégâts produits par la croissance sur l'environnement ont un prix! Un prix tel qu'il annule les bénéfices escomptés (exemple: le prix du démantèlement des centrales nucléaires, qui provient du fait que l'on a trop tardé à faire des choix écologiques et responsables). Idem pour les pesticides (agriculture intensive) qui tuent les abeilles etc..
2) A long terme, parier sur la croissance, c'est décider d' exploiter toujours PLUS des ressources qui ne sont pas infinies...
Le rôle d'un homme politique n'est-il pas d'éduquer et d'éclairer les électeurs, avec courage, plutôt que de répercuter des lieux communs?
(ce propos figurerait, selon un lecteur journaliste entendu hier sur BFM TV, dans son dernier ouvrage "Changer de destin", mais ce n'est pas nouveau! )
http://biosphere.blog.lemonde.fr/2011/08/31/aubry-hollande-face-au-dilemme-croissanceenvironnement/
Qui ne dit mot consent :
"Fermer les yeux et se boucher les oreilles; est-ce, d'une façon ou d'une autre,"participer" au meurtre?"
"Pourquoi la plupart du temps n'a-t-on d'yeux que pour les blessures de ses blessés, et pour les souffrances engendrées par ses propres morts, en restant insouciant de ce qui viole et meurtrit n'importe quelle vie, sans exception?"
"Ce qui explique le "consentement meurtrier", c'est l'effilochage, sinon la rupture, du lien entre politique et éthique, qui peut certes se produire au niveau individuel".. mais qui touche aussi à la condition humaine dans son ensemble.
A lire ce matin dans Libé, l'article de Robert Maggiori
http://www.liberation.fr/livres/01012391613-cachez-ce-sang-qu-on-ne-saurait-voir
et aussi
Rien.
On ne fait rien.
On ne peut rien faire ?
http://www.slate.fr/story/50381/bachar-assad-tyran-massacres
Et la R2P?
......