27 juillet 2017
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Tant pis pour les maîtres..
« Chez les natures d’enfant, ardentes, passionnées, curieuses, ce qu’on appelle la paresse n’est le plus souvent qu’un froissement de la sensibilité; une impossibilité mentale à s’assouplir à certains devoirs absurdes ; le résultat naturel de l’éducation disrportionnée, enharmonique qu’on leur donne. Cette paresse, qui se résout en dégoûts invincibles, est, au contraire, quelquefois la preuve d’une supériorité intellectuelle et la condamnation du maître. Telle elle était, chez Sébastien, à son insu. » Octave Mirbeau ( Sébastien Roch, p. 77 )